19 et 20 septembre 2013. Myvatn
De la Terre, le sujet et puis le ciel, peu de ciel. Notre condition est terrestre, à chacun de nos pas nous ne voyons que les quelques mètres au devant de nous. Ne pas trop regarder ce ciel, cet infini.
Comme toujours les images auront des avant-plans prononcés, le ciel sera, de principe, insignifiant. Même si à l’instant où ces lignes sont rédigées il flamboye et que mes yeux ne peuvent s’empêcher de le contempler, il restera proportionnellement infime. Travail sur cette Terre, cette chair meurtrie, à quelques mètres, rien de plus. Cela suffira bien.